Par ordre chronologique décroissant:
Projet
Lyee
(2001-2004)
Lyee
International Collaborative Research Project est un projet
permettant la coopération entre différents partenaires universitaires
et industriels au niveau international autour de la méthode
Lyee. Le projet de collaboration a pour but de vérifier et
de formaliser cette méthode en la complétant par une véritable
démarche d'ingénierie des besoins.
Projet
International
e-mi@ge (depuis
2001)
Le
projet International e-miage fait partie des Campus Numériques
Français dont l'objectif est de construire une offre de formation
innovante, ouverte et à distance, utilisant les nouvelles
technologies de l'information et de la communication. Ce projet
est destiné à proposer le cursus des formations MIAGE en Formation
Ouverte à Distance. Le consortium e-miage est constitué des
20 IUP MIAGE.
Projet
ESPRIT IV CREWS
- Cooperative Requirements Engineering with Scenarios (1997-1999)
L'objectif
du projet CREWS est de développer, évaluer,
et démontrer l'applicabilité de méthodes
et d'outils pour l'élucidation et la validation coopérative
de besoins par les scénarios
Projet
ESPRIT IV ELEKTRA
- ELectrical Enterprise Knowledge for TRansforming Applications
(1996-1999)
Le
projet ELEKTRA vise principalement à adapter et appliquer
la méthode EKD aux problèmes de gestion du changement
de l'entreprise Grèque Public Power Corporation (PPC)
of Greece et l'entreprise Suédoise Vattenfall AB of
Sweden et de généraliser les meilleures pratiques
du métier en vue de les disséminer et de les
appliquer dans d'autres entreprises du secteur publique.
Projet
PRINCE (1994-1995)
Il
s'agit d'un projet commun à la société EVER et au LISI (INSA
de Lyon) répondant à l'appel d'offre pour le projet "Bureau
du futur" du ministère de l'industrie. Ce projet avait pour
objectif de construire un système intégrant des technologies
existantes pour fournir un système d'aide à l'élaboration
coopérative de documents. Le système PRINCE (PRoduction INtelligente
et Coopérative de documents en Entreprise) se situe dans un
cadre de processus de production de documents qui peut se
définir comme un enchaînement des étapes de rédaction, de
relecture, d'approbation.
Projet
MEGA - Methodology for the Engineering of Group based
Applications (1994-1995)
Le
projet MEGA s'est intéressé à la conception de systèmes d'information
coopératifs. Il a conduit, en exploitant le principe de contingence
proposé par OSSAD, à la proposition de la méthode
CISAD (Cooperative Information Systems Analysis and Design)
pour l'analyse et la conception de systèmes associant
le workflow et les autres situations du travail coopératif,
et des modèles permettant de représenter
les interactions entre coopérants qu'il s'agisse d'interactions
synchrones ou asynchrones, formelles ou informelles.
Projet
FORMADIS - FORMation à DIStance (1992-1994)
Le
projet FORMADIS (FORMAtion à DIStance) de l'IUFM de
Lyon visait à construire un dispositif de formation
à distance pour les étudiants salariés (maîtres auxiliaires,
maîtres d'internats, surveillants d'externats,…) dont la préparation
au concours de recrutement (CAPES,…) posait un problème particulier.
Ceci a conduit l'IUFM de Lyon à envisager l'utilisation de
moyens multimédias pour la mise au point de modalités spécifiques
de formation à distance, destinées à ces étudiants.
Projet
Téléprésence (1992-1993)
Le
projet Téléprésence de la Région Rhône-Alpes comportait 3
parties :
-
le multimédia et son intégration dans une architecture de
travail coopératif,
-
la vidéoconférence et ses différents champs d'application,
- le
travail coopératif. La
recherche proposée dans cette partie avait pour objectif
d'étudier les interactions mises en jeu dans le travail
coopératif, plus particulièrement dans sa modalité de télé-tutorat.
Le projet s'est attaché à préciser les conditions qui rendent
possible ce type de travail coopératif à distance par l'intermédiaire
d'outils les plus adaptatifs et avec des contraintes d'efficacité
proches de celles d'une relation face à face.
Projet
ESPRIT I EPSILON (1987-1990)
L'objectif
du projet est de construire un système de gestion de
connaissances reposant sur la logique dans un contexte orienté
objet. Il est basé sur l'intégration des technologies de la
programmation logique et des bases de données relationnelles.
Son but est de fournir un environnement qui offre à la fois
des mécanismes de structuration puissants, tels que la modularité
(classes et héritage), et un accès efficace et transparent
aux bases de données. L'interface hybride Prolog-Bases de
Données (semi interprétée-semi compilée) résultant de cette
travaux utilise un protocole de communication à deux phases
(statique-dynamique) dans le but de combiner les avantages
des approches de couplage interprétée et compilée. Cette stratégie
minimise le nombre d'accès à la base de données et génère
des requêtes au SGBD aussi sélectives que possible, par une
instanciation maximale des prédicats base de données, en utilisant
le SGBD pour les opérations relationnelles (sélections, jointures).
Le produit a été intégré dans le prototype EPSILON, en le
définissant comme un nouveau moteur d'inférence grâce auquel
l'utilisateur n'a plus besoin de distinguer les prédicats
logiques des prédicats base de données dans ses programmes.
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